Quand on partait à bicyclette... avec Titia !

Titia avait dit à Jack : « Viens demain, on va faire du vélo avec mes nièces ».

Le lendemain matin, à 9 heures, Jack est prêt. Sa tenue de coureur cycliste bariolée, son vélo de course… un vrai pro…
Comme le dit Jack, « Je sais que Titia est matinale, c’est pour ça que je suis venu de bonne heure ! »
Seulement, à 9 heures, à part Jack, personne n’est prêt !
Vers 11 heures, Titia arrive, mais il faut regonfler son vélo (pour la petite histoire, ce vélo vient de subir quelques réparations, auxquelles même Papy Jean a été mis à contribution)

A 11h15, nous partons.

On va où ?
« Sur du plat ! » ordonne Titia.
Du plat, en Corrèze ? C’est pas gagné !

Nous nous suivons, à la queue-leu-leu. Jack en tête, suivi de Lulu, puis moi, puis Choup puis Titia.
Le vélo de Titia fait « crack craaack » à chaque coup de pédale.
Comme le dit Lulu : « on n’est pas prêts de la perdre, Tata ! »

Première côte, ou plutôt première côtelette, Titia met le pied à terre. Du coup, Choup la suit.

En haut de chaque côte, Jack attend, suivi de Lulu, puis moi…
Comme dit Jack : « On n’est pas prêt de faire le Tour de France ! »

Nous faisons un très joli tour dans la campagne corrézienne, ses étangs, ses forêts…



A un moment, Titia s’est mise à faire des nœuds avec sa chaîne.
Jack est loin devant.
Je n’arrive pas à décoincer cette fichue chaîne, prise entre deux plateaux.

Titia semble avoir la solution : « Vous savez ce que je vais faire ? »
(Je ne sais pas moi, appeler SOS vélo en détresse ? Sortir un outil magique ?….)
Non, la réponse à laquelle personne ne s’attendait : « Racheter un autre vélo ! »
(Là, maintenant, en pleine cambrousse ?)

Finalement, à deux, Super Lulu et moi tirons sur la chaîne comme des tordues, et hop, elle se décoince !

Notre petit tour se termine par une magnifique côte que Jack et moi sommes les seuls à gravir sans poser pied à terre (moi très fière !).

Arrivés à la maison, Titia trouve de quoi graisser sa chaîne. Elle essaye ensuite son vélo et fait un tour dans le jardin.
Maintenant, ça ne fait plus «crack craack » quand elle pédale…

Non, maintenant, ça fait « Pfffffflt ! »


Car son pneu arrière est crevé !

Solution de la devinette Touristique

La réponse à la devinette touristique est

UZERCHE

La perle du limousin

Et le détail qui tue :

(mais je vous rassure, depuis lundi, il fait très beau !)

Et puis, avec l'Irlande l'an dernier, ces températures ne nous font plus peur !

Devinette touristique

Devinez quelle est cette jolie bourgade ?

Suspense

Le suspense est à son comble.
L'ouragan Mathilda s'abat sur l'Ile de la Grenade. Le Docteur Fors en profite pour trucider son épouse, le cyclône sera un bon alibi. Lisbeth Salender est témoin de la scène et affronte les éléments pour tenter de sauver la femme...

"Je vous emmène à Lagraulière ?"
Mamie Janine me propose de l'accompagner chez le patissier, dans le village d'à côte, m'arrachant ainsi à ma lecture du Millénium tome 2.

Mais je ne regrette pas. Ce petit village est vraiment mignon.

Son église romane datant du 10ème siècle est classée monument historique depuis 1932.


Malheureusement, elle est fermée, et je ne verrai pas à l’intérieur : coupole à pendentifs, deux chapelles, un retable du 17e siècle, pavage en galets, emplacement d’un puits destiné aux chambres des pères. Deux pièces habitables et un grenier superposés pouvaient héberger les moines d’Aubazine (venant visiter leurs granges), les pèlerins ou la population menacée.

A l’extérieur le porche abrite trois bas reliefs: la mort du mauvais riche, le châtiment de l’avare, l’homme au poisson et douze chapiteaux.






Et à côté de la pâtisserie, un magasin, mieux que la Samaritaine :

Une fin pas chouette !

Je laisse la plume à Titia

TRISTE FIN ...


Celle pour qui mon appentis était devenu le refuge préféré

Qui s'amusait à arpenter les cachettes secrètes de la toiture

Délaissant au quotidien ça et là ... quelques excréments

Gage de sa présence protectrice...


Celle pour qui j''ai cherché à protéger l'espèce en prenant de bienveillants conseils

Sollicité mon frère pour rechercher d'hypothétiques nids ...

Sollicité mon collègue , pour lui créer un habitat digne de sa personne...


Celle pour qui un article de blog a été consacré

De bonnes âmes m'ont rapporté les connaissances d'experts


Malgré tant de dévotion , mon amie la chouette n'est plus...

Vue défectueuse... elle semble s'être fracassée contre l'arête du mur...

Apportant la certitude ce matin , que la chevêche est bien en voie de disparition !

L'appentis du sol aux poutres, voiture , brouette, poubelle ... reluisent ce soir, car notre amie devait être épanouie pour avoir marquer avec autant d'aisance et de constance son territoire ...


Et moi, j'avoue qu'il faut faire preuve de grande tolérance avec les squatters...

Ballon-tinage !

L'autre soir, je raconte à Balotine-Lulu un événement qui s'est produit sous mes yeux : sur un route très passagère, un ballon d'enfant a sauté par dessus un portail et s'est retrouvé au milieux de la la voie.

Un petit garçon est aussitôt sorti le ramasser entre deux passages de voitures.

Je lui dis : "J'ai eu peur quand j'ai vu ce ballon : c'est dangereux pour les automobilistes, car ça aurait pu provoquer un accident, c'est dangereux pour le petit garçon qui ne regarde que son ballon et pas la circulation..."

Et Balotine-Lulu d'ajouter :

"Et c'est aussi dangereux pour le ballon !"

Balotignangnans ?

Pour faire écho au billet de Zébuline, qui raconte comment son fils appelle la maison de la vache (la vacherie !) et pour continuer avec les petites perles de notre Balotine-Choup nationale, à la question "Comment appelle-t-on les habitants de..." voici les réponses de notre grande spécialiste !

Déjà plus petite quand sa soeur lui avait dit que son copain Florian était né en Belgique, elle s'était exclamée :

"Tiens ? je ne savais pas qu'il était Belgicain !"

(Ben quoi, les habitants de l'Afrique étant les Africains, il y a une certaine logique !)

Evidemment, sa soeur s'était vite empressée de la corriger : "On ne dit pas Belgicain, mais Belgicais !"

Maintenant, la petite Choup a grandi, mais a toujours beaucoup de mal avec les nationalités.

L'autre soir, nous regardions de l'athlétisme à la télévision.

Eh bien Choup a admiré la performance des "Russiens" !

Mais le mieux, je vous dis pas... ce sont les athlètes du Kénya.

Comment appelle-t-on les habitants du Kénya selon Balotine-Choup ????

...

Réponse : Les Kényaniens !

(On ne serait pas un peu gnangnan dans la famille ?)

No stress !

Balotine-Choup déchiffre les paroles de "No Stress" de Laurent Wolf :

"Aïe donte ouanna weurk touday
Mébi aïe juste ouanna staye
Juste tèque it izi cose zère no stress"

Puis elle ajoute : "Au fait, j'ai eu un 20/20 en anglais aujourd'hui !"



(t'es sûre ?)

169 ans

Hier soir, tir groupé pour Bibi, Mimi, Nicou, Choup et Woiwoi. On a fêté les 5 anniversaires : 169 ans au total !

Ensuite, nous avons eu droit à un défilé de mode, mais les photos ne sont pas publiques...

Vous me donnez combien pour voir Choup en robe ???

Bowling party

Après la Pizza party pour l'anniv' de Balotine-Lulu,

la Roller party pour l'anniv' de Balotine-Choup,

ce sera Bowling party pour l'anniversaire de Balotin-Nicou !

Comme les invités n'étaient pas très nombreux (les cousines, Julie, Maïus et Roro) et qu'il ne faisait pas beau, l'idée d'emmener tout le monde s'enfermer au bowling n'était pas mauvaise...

Le bowling tout neuf qui vient d'ouvrir du côté de chez nous est très bien conçu : 30 pistes pour le bowling, une bonne vingtaine de billards, des jeux vidéos, une pizzéria...

Le bonheur des djeun's !

On a rencontré plein de monde : des groupes d'enfants qui fêtaient eux aussi leurs anniversaires, des gens de notre village, ou du village d'à côté... J'ai même vu mon chef !

Nicou s'est éclaté. Il a adoré le bowling:

et aussi le billard

En rentrant, Nicou a eu la bonne surprise de trouver son copain Vincent.

Ils ont fait de bonnes parties en se tirant dessus avec le pistolet à air comprimé offert par Sivie Roro et Maïus !


Voilà on est tranquilles pour les anniversaires des enfants... jusqu'à l'année prochaine !

Hakuna Matata !

En ce mercredi, une grande journée nous attend.



J'emmène les enfants et leurs cousines à Paris pour aller voir Le Roi Lion.



Mais avant, j'en profite pour leur faire goûter des Sushis à la défense, dans un restaurant rigolo où tous les plats défilent sur un tapis roulant :

Puis petites courses avant de prendre le RER.


Grand bonheur des enfants : les escalatooooooors !
Trop bien les escalators ! Et il y en a partout !
D'ailleurs, pendant que je fais la queue au guichet pour acheter des tickets, ils les montent et les descendent.


Rester debout sans se tenir dans le RER est aussi un grand plaisir.
Au moins, si la comédie musicale ne leur plaît pas, on ne sera pas venus à Paris pour rien !


On arrive au théâtre bien en avance. Il fait très lourd. Je vais acheter des petites bouteilles d'eau fraîche pour tout le monde... Tenez-vous bien... Dîtes un prix...


Faîtes vos jeux...


Rien ne va plus...


4 euros ! oui, 4 euros la petite bouteille de 50 cl...
Si le spectacle coûte les yeux de la tête, les bouteilles d'eau coûtent un bras !




Puis nous entrons dans le théâtre... Je prépare la monnaie pour les ouvreuses.
- Non merci Madame, nous n'avons pas le droit aux pourboires !
Enfin une bonne surprise !

Heureusement, j'aurai d'autres bonnes surprises pendant tout le spectacle.

D'abord le placement : on a une très bonne visibilité car les gradins de l'orchestre sont bien inclinés, et le théâtre n'est pas plein !

Ensuite, il faut le reconnaître, la grosse machinerie de Broadway fonctionne à merveille, le spectacle est MA-GNI-FI-QUE !

D'abord le premier tableau : tous les animaux arrivent sur scène en passant dans les allées, pour accueillir la naissance du bébé lion qui apparaît en haut d'un grand rocher élyptique qui sort du sol. Un gigantesque éléphant arrive de la gauche, un rhinocéros de la droite, les antilopes se déplacent sur une étrange machine à cycles, les oiseaux volent au bout de lances, la girafe est portée par un homme sur échasses, les larmes des lionnes coulent en rubans... Des costumes superbes, des masques somptueux qui se superposent aux têtes des comédiens. Et les hyènes : très laides (elles font peur à Nicou) et très drôles !

Les décors, incroyables. Un magnifique squelette d'éléphant sur lequel évoluent les comédiens. Une forêt de lianes au plafond. Le masque du lion mort qui se construit pièce par pièce dans le ciel. Des fleurs qui sortent du sol, gonflent et se dégonflent. Des jets de fumée qui surgissent au milieu. Une scène qui s'incline, s'ouvre à plusieurs endroits, jamais les mêmes, faisant apparaître des personnages déguisés en savane. Un canyon où on voit dévaler petit à petit des centaines de buffles.


Et sous cette scène, nous le découvrirons plus tard, un orchestre ! Incroyable, comment trouvent-ils la place pour loger tout cela là dessous ?


Car la musique est jouée en direct, et les chanteurs chantent en direct (on a pu l'observer lorsqu'ils passaient à côté de nous, et on voyait un boîtier au bas de leur dos, mais où ils ont caché le micro ?)


L'inventivité de tous les détails de la pièce est remarquable. Ombres chinoises, personnages mus par des ventriloques couverts de peintures pour se fondre dans le décor...
Et l'humour est au rendez-vous avec les personnages de Timon et Pumba.

J'ai été emportée par la musique, les lumières, les couleurs, les chorégraphies. Parfois submergée par tant d'émotions, j'ai eu ma petite larme.

Dans ces moments là, toutes les petites contrariétes s'envolent :

Hakuna Matata !

Pour en savoir plus sur ce spectacle que je vous conseille bien évidemment : Le Roi Lion