Je ne sais pas si c'est l'été indien, mais ça y ressemble.
Ce soir, j'ai voulu en savoir plus sur l'origine de cette appellation, été indien (ou des indiens)
Plusieurs hympothèses, dont celle-ci .
L'appellation "des Indiens" vient du fait que les Amérindiens profitaient de ce temps doux et sans précipitations pour préparer leurs habitations en vue de la saison froide. Ces Indiens, avant de réintégrer leurs quartiers d'hiver, profitaient de ces derniers beaux jours pour terminer leurs récoltes et garnir leur wigwam de provisions. La température étant clémente, les journées étaient propices à la conservation du gibier accumulé. Comme ils vivaient au jour le jour, ils attendaient à la dernière minute pour aller à la chasse. Si, malheureusement, la période attendue de temps doux n'avait pas lieu, ils en étaient quittes pour un hiver de "vaches maigres".
J'ai trouvé cette info et plein d'autres très intéressantes sur le site : http://www.gitedureveur.com/fr/ext/c_ete_indien.php
Balotin, mon mâââri, a pris une bonne résolution pour la rentrée.Il m'a dit : "Aller au boulot chacun dans sa voiture, ce n'est pas économique, avec le prix de l'essence, et ce que consomme ta Grosse Voiture, et patati et patata...
Alors j'ai décidé... (tintin !)
... que je prendrai le bus ! Mais pour aller chercher le bus, j'irai dans la Grosse Voiture et toi, tu prendras la petite, car elle consomme moins !"
Je n'étais pas ravie-ravie...
Je ne l'aime pas la petite voiture !
Moi, dans ma Grosse Voiture, je suis fière, je domine le monde, je n'ai peur de rien !
Alors que la petite, elle n'a pas de reprise, elle pue, et j'ai l'impression d'être au ras des pâquerettes...
"Quand tu iras à la pompe, tu l'aimeras !" ordonne Balotin...
Bon, je m'incline (du moment que ce n'est pas moi qui prends le bus...)
N'empêche, je l'aime pas la petite voiture, on est au ras des pâquerettes...
Mercredi, je garde la Grosse Voiture (pour faire le taxi et les courses, elle est plus adaptée). Balotin prend alors la petite.
Mais ce mercredi, il m'a bousillé le remonte-vitre-électrique. Et comme Balotin est bricoleur, il décide de tout démonter (mon dieu quel bonheur.... !)
ça fait maintenant deux jours que ma vitre ne bouge plus, et que ma portière est complètement désossée de l'intérieur ! Quand je roule, ça fait "gling gling !". Et si je veux badger pour entrer au parking, il faut que j'ouvre la portière en actionnant un levier qui ne tient qu'à un fil !
Moi, je dis, Balotin, il veut ma peau : d'abord il échange les voitures, ensuite il me trafique la mienne...
Lundi, je testerai bien les freins avant de partir !
"Maman, je peux aller faire du vélo avec A.. ?"
Evidemment, j'ai dit oui, et je l'accompagne chez A, à vélo moi aussi. Je ne veux pas qu'elle prenne cette route toute seule car elle est dangereuse, les automobilistes y roulent trop vite.
Je la laisse avec son amie en donnant bien pour consignes de ne prendre que des chemins et pas la "route dangereuse"...
Je lui dis aussi de rentrer vers 18 heures.
Puis, je remonte la côte toute seule sans poser pied à terre.
Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour le bonheur de ses enfants !
Vers 18 heures, le téléphone sonne. C'est Choup. "Je suis chez L... Est-ce que je peux rester jusqu'à 18h30, 18h45 ?"
Evidemment, je dis oui. Elle est mignonne, elle me prévient.
Et qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour le bonheur de ses enfants !
18h30 : pas de Choup
18h45 : pas de Choup
19h05 : coup de téléphone, c'est Choup.
C'est Balotin, énervé, qui décroche : "Non, tu te fiches de nous, tu te débrouilles pour rentrer toute seule !"
19h15 : Choup rentre, toute pêteuse, la queue entre les pattes... (rapport au chat botté, voir plus haut !)
"C'est la mère de A... qui m'a raccompagnée en voiture !" (Ben oui, la route est dangereuse...)
19h30 : Je téléphone à la maman de A pour la remercier et nous excuser d'être des parents indignes...
Moi, j'aime bien quand Moushette se lance des défis à elle-même :
voir Si le diaporama de ce post marche...
Et ce samedi matin...
Le soleil vient de se lever, encore une belle journée, elle va bientôt arriver, l'amie Moushette.
Elle est venue au bon moment, avec sa brioche toute fumante, l'amie du petit déjeuner, l'amie Moushette.
Elle a choisi la bonne heure, celle où on chante tous en coeur, l'amie du petit déjeuner, l'amie Moushette !
Et je ne vous raconte pas comment on s'est régalés : une brioche toute chaude, bien moelleuse, pas trop sucrée, pas trop beurrée, avec quelques raisins... un délice ! (Céline, si tu savais... En plus, c'est grâce à toi car c'est ton tuyau que j'ai donné à Moushette !)
ça y est, enfin, on en parle ! Sur les grandes chaînes, à la radio... Et plus seulement parce que ces cyclônes arrivent sur les Etats-Unis et menacent les plateformes pétrolières !
Combien faut-il de morts dans ces pays les plus pauvres et qui trinquent le plus pour qu'on daigne en parler aux informations ?
La réponse est : minimum 500 !
Car Hanna a fait plus de 500 morts, et Ike, le cyclône suivant en ajoute à cette sinistre liste !
Je ne sais pas pourquoi, ces images vont nous faire du bien quand on sera au coin du feu... dans quelques temps !
(Merci du tuyau, Céline !)
